Les Français ont l’habitude de parler des Hospices de Beaune mais à l’époque, au XVe siècle (15e) on disait l’Hôtel Dieu, comme tous les hôpitaux construits alors et qui étaient destinés à soigner les plus pauvres. Petite particularité, à Beaune, c’était chic ! C’était un hôpital de luxe pour des gens sans argent. Rare !
Un chancellier des Ducs de Bourgogne, Nicolas Rolin (~1376-1462), décida en 1443 de construire un hôpital luxueux pour les malades pauvres afin d’expier ses fautes (1). Quelles fautes, on ne sait pas vraiment, sans doute y en avait-il beaucoup ? 🙂
Nicolas Rolin fondateur des Hospices de Beaune
Extrait du texte fondateur des Hospices de Beaune par Nicolas Rolin : « Moi, Nicolas Rolin, chevalier, citoyen d’Autun, seigneur d’Authume et chancelier de Bourgogne, en ce jour de dimanche, le 4 du mois d’août, en l’an de Seigneur 1443… dans l’intérêt de mon salut, désireux d’échanger contre des biens célestes, les biens temporels… je fonde, et dote irrévocablement en la ville de Beaune, un hôpital pour les pauvres malades, avec une chapelle, en l’honneur de Dieu et de sa glorieuse mère.
À l’intérieur, on trouve une grande salle avec 28 lits à colonnes disposés exactement comme au 15e siècle, le long du mur. Le luxe à Beaune était de mettre seulement deux malades dans un seul lit alors qu’à l’Hôtel Dieu de Paris ou Lyon par exemple, les malades étaient au nombre de six dans un seul lit. On en mettait trois à la tête et trois aux pieds du lit.
Une médaille d’or a été décernée par la SFHH (Société Française d’Histoire des Hôpitaux) en 2014 au livre « Histoire des Hospices de Beaune » écrit par deux historiens, Marie-Thérèse Berthier et John Thomas Sweeney.
Dans la salle de repos, les malades avaient la possibilité de contempler la scène du jugement dernier sur un beau retable commandé par Nicolas Rolin au peintre flamand Rogier van der Weyden. Le moment pour eux de faire le point sur les bonnes et mauvaises actions qu’ils avaient pu faire dans leur vie.
Toutes les archives de l’hôpital ont été conservées ainsi qu’un précieux document bien gardé que les touristes ne peuvent pas voir. Il s’agit du Livre d’or où des personnes de sang royal (Louis XIV par exemple), des présidents de la république française ou bien des célébrités ont apposé leur signature. Des siècles de l’histoire de France.
L’hôpital a fermé ses portes en 1971 et depuis c’est 400 000 visiteurs qui viennent de France et du monde entier voir ce monument (et déguster les vins de Bourgogne aussi 😉 ).
La grotte Chauvet se situe dans le département de l’Ardèche (07) en région Auvergne-Rhône-Alpes sur la commune de Vallon-Pont-d’Arc. Elle est inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2014 (39e site du patrimoine mondial en France). Elle est l’une des grottes françaises majeures par les qualités esthétiques et le nombre de ses œuvres avec la grotte de Lascaux (découverte en 1940), la grotte de Cosquer (découverte en 1991) et la grotte de Cussac (découverte en 2000).
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Comment la grotte a-t-elle été découverte ?
La grotte du Pont d’Arc ou grotte Chauvet du nom d’un de ses découvreurs est restée intacte grâce à un éboulement qui se serait produit il y a 23000 ans. Son état de conservation est donc exceptionnel. Personne n’y avait pénétré jusqu’à ce qu’en 1994, trois spéléologues, Jean-Marie Chauvet, Éliette Brunel et Christian Hillaire, découvrent avec stupéfaction une succession de cavités de 500 mètres de long et parfois 50 mètres de large attestant la présence d’hommes préhistoriques. Ils observent avec émerveillement des milliers de dessins d’une très grande finesse qui ornent la grotte un peu partout. Ces hommes préhistoriques étaient des artistes qui maîtrisaient déjà certaines techniques de dessin comme l’utilisation des couleurs , l’estompe, le mélange des peintures et gravures. Ils étaient capables de représenter des animaux en mouvement d’une manière très réaliste. Ainsi, dans cette grotte Chauvet on trouve plus de 1000 dessins dont plus de 400 représentations animales montrant 14 espèces différentes comme des ours des cavernes, des rhinocéros laineux, des lions, des lionnes, des panthères, des hyènes, des bisons…
Ces peintures datent du paléolithique supérieur réalisées par les Aurignaciens, hommes ayant vécu entre -38000 ans et -28000 ans. Jusqu’à présent, c’est l’une des plus anciennes grottes ornées de peintures pariétales connues à ce jour. On estime son ancienneté à -36000 ans.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, la grotte ne servait pas d’abri mais à des pratiques culturelles et rituelles. En plus de la présence de peintures rupestres, on a trouvé des traces de foyers, des amas d’ossements, des empreintes de pas et notamment celles d’ours qui se sont servi de ces cavernes pour hiberner ou mettre bas.
COMMENT C’ÉTAIT IL Y A 36000 ans ?
À cette époque, les hommes n’étaient pas nombreux. Ils vivaient au temps où les ours des cavernes, les mammouths, les lions étaient les espèces dominantes sur le continent Européen. Les Aurignaciens, du nom de la ville d’Aurignac en Dordogne (France) où pour la première fois ils ont été identifiés, étaient des nomades qui vivaient de la chasse et de la collecte de végétaux. Ils se déplaçaient en fonction des sources de nourriture soit animale, soit végétale. Ils employaient les dents et les os pour fabriquer des ustensiles nécessaires à leur vie. Ils taillaient les pierres pour s’en servir comme couteaux.
Ne pas reproduire la même erreur qu’avec la grotte de Lascaux
La grotte de Lascaux, autre célèbre grotte ornée de dessins moins anciens (-18000 ans) a connu un tel succès populaire après sa découverte en 1940 que le défilement des visiteurs et le rejet de gaz carbonique dû à leur respiration a fini par commencer à abîmer ces peintures si longtemps préservées.
En 1983, une réplique de la vraie grotte de Lascaux – Lascaux II – a été proposée au public mais c’était une reconstitution d’une petite partie de la grotte. Aussi, comme pour la réplique de la grotte Chauvet ouverte en 2015, une fidèle reconstitution de la grotte de Lascaux avec les moyens modernes sera proposée aux visiteurs en Dordogne dans quelques années.
Réplique soignée de la vraie grotte Chauvet – Voir vidéo YouTube ci-dessous
LA RÉPLIQUE DE LA GROTTE CHAUVET, UN TRAVAIL COLOSSAL MAIS UNE RÉUSSITE !
Depuis avril 2015, l’exacte réplique de la vraie grotte Chauvet « la caverne du Pont d’Arc » est proposée au public à quelques kilomètres de l’originale.
Pour parvenir à cette réalisation, il a fallu faire intervenir des corps de métiers très différents : des agences d’architecture, des scénographes, des spécialistes du bâtiment, des peintres, des sculpteurs…
Ils ont uni leurs efforts afin de proposer une reconstitution la plus fidèle possible sur 3500 m² avec la même température que dans la vraie grotte, le même taux d’humidité, les mêmes aspérités sur les murs… On s’y tromperait !
Les technologies numériques ont été bien utiles pour faire ce fac-similé, le plus grand jamais réalisé au monde jusque là. Les dessins ont évidemment été reconstitués en utilisant les mêmes méthodes que les hommes préhistoriques il y a 36000 ans, c’est-à-dire principalement le charbon pour le noir et l’utilisation des doigts pour le tracé.
DÉCOUVERTES D’AUTRES GROTTES ORNÉES PLUS VIEILLES QUE LA GROTTE CHAUVET DEPUIS 1994
Depuis 1994, on a trouvé de plus vieilles peintures rupestres que celle de la grotte Chauvet en France.
En Indonésie, des paléontologues australiens et indonésiens ont découvert des peintures pariétales vieilles de 40 000 ans sur l‘île de Sulawesi au sud de Bornéo. La grotte était connue depuis les années 1950 mais une nouvelle méthode plus moderne de datation uranium-thorium montre qu’en 2015, c’est la grotte ornée la plus vieille au monde découverte jusqu’à présent avec celle du Castillo en Espagne qui conserve elle aussi des trésors sur ses murs datant de -40800 ans.
Marseille est la plus vieille ville de France. Elle a été créée par des marins grecs venant de Phocée vers l’an 600 avant Jésus-Christ. Elle s’appelait alors Massalia et ses habitants étaient des Massaliotes. À présent, ce sont des Marseillais et des Marseillaises qui peuplent la cité phocéenne -autre façon de désigner la capitale de la région PACA ou Provence-Alpes-Côte d’Azur-.
Vidéo – la ville de Marseille – centre – 860 000 habitants en 2015
Marseille se situe au bord de la Méditerranée, au sud-est de Paris et à 3 heures de TGV (1) de la capitale française. Sa région attire de nombreux touristes car le climat y est très méditerranéen, garrigue, oliviers, lavande, mimosas, pins parasols… et surtout très ensoleillé puisque le vent, le Mistral, qui descend la vallée du Rhône et qui peut d’ailleurs être redoutable en hiver, chasse bien souvent les nuages vers la mer.
En plus du port antique au centre ville, il y a le complexe portuaire de la Joliette qui est considéré comme le 4e port européen. La ville elle-même compte plus de 850 000 habitants et l’agglomération plus d’1,5 millions. C’est la deuxième commune de France en terme de population après Paris bien sûr.
La commune a la chance de posséder 57 kilomètres de côtes dont 24 kilomètres de superbes calanques entre les petites villes de Goudes et de Cassis qui attirent environ un million de touristes par an. Mais Marseille a aussi ses propres plages, celles du Prado, des Catalans, du Prophète et de la Pointe Rouge.
L’Archipel du Frioul qui fait face à Marseille est rattaché au 7e arrondissement. Parmi ces quatre îles, il en est une très appréciée des touristes c’est l’île d’If avec le célèbre château d’If. Il a servi de prison pendant 400 ans mais, surtout, il a été rendu célèbre par le romancier Alexandre Dumas et son personnage fictif le Comte de Monte-Cristo.
Rocamadour est situé dans le département du Lot (46) en région Occitanie. C’est d’abord un tout petit village de 35 habitants niché au creux d’un rocher et près d’une petite rivière surmonté d’un sanctuaire aux 7 chapelles, une basilique et une crypte et, au-dessus encore, à 120 mètres de hauteur, un château.
C’est un endroit très touristique, l’un des premiers sites touristiques de France avec plus de 1,5 million de visiteurs par an après la Tour Eiffel et le Mont Saint-Michel.
On a découvert des peintures rupestres préhistoriques qui prouvent que les hommes étaient déjà présents sur ce lieu il y a 25000 ans avant J.C.
L’origine de ce lieu sacré remonterait au 1er siècle après Jésus-Christ. C’est à cet endroit, dans une grotte de ce rocher, que se serait installé un ermite nommé Zachée de Jéricho cité dans le Nouveau Testament, dans l’évangile selon Saint-Luc.
Zachée grimpé dans l’arbre
Jésus se rendant à Jérusalem passe par Jéricho. Zachée, chef des collecteurs d’impôts et négociant en objets précieux est très riche et très impopulaire. Il a environ 40 ans et est de petite taille. Aussi, pour parvenir à apercevoir Jésus entouré d’une foule importante, il grimpe dans un sycomore. Jésus, arrivé au pied de l’arbre l’appelle par son nom, lui demande de descendre et lui dit « Zachée, descends vite : aujourd’hui il faut que j’aille demeurer dans ta maison. La foule voyant cela est choquée « Il est allé loger chez un homme qui est un pécheur». Zachée, rempli de joie, descend alors de l’arbre et dit « « Voilà, Seigneur : je fais don aux pauvres de la moitié de mes biens, et si j’ai fait du tort à quelqu’un, je vais lui rendre quatre fois plus. Arrivé dans sa maison, Jésus soigne Véronique, la femme de Zachée, d’une maladie très douloureuse. Zachée se convertit alors à cette nouvelle religion, devient ensuite un disciple de Jésus sous le nom de Matthias et suit avec sa femme la longue montée au calvaire de Jésus jusqu’à sa crucifixion. C’est Véronique qui essuie avec un linge blanc le sang et la sueur sur le visage du Christ pendant cette épreuve.
Plus tard, lors des persécutions contre les Chrétiens , Zachée et Véronique fuient et arrivent en Gaule (ancien nom de la France). Véronique meurt à Soulac et Zachée va s’isoler sous ce rocher de Rocamadour. Une légende médiévale l’associe à Saint-Amadour (« amator » signifiant « celui qui aime »). D’autres ermites ensuite seraient venus s’isoler dans ce lieu et prier la Vierge. Rocamadour était déjà un lieu de recueillement dès les premiers siècles de la chrétienté.L’ actuelle Vierge noire sculptée dans du bois date du XIIe siècle (1)
APRÈS LA DÉCOUVERTE DU CORPS INTACT ASSOCIÉ À SAINT-AMADOUR EN 1166, ROCAMADOUR DEVIENT CÉLÈBRE DANS TOUTE L’EUROPE ET LES PÈLERINS ARRIVENT EN MASSE DÈS LE 12e SIÈCLE.
En 1166, les moines en creusant découvrent par hasard une tombe avec un corps parfaitement conservé. L’absence de décomposition corporelle frappe les esprits, c’est un miracle. On vient donc à Rocamadour pour prier la Vierge noire mais aussi pour vénérer le corps de cet ermite devenu Saint-Amadour. Il sera vénéré pendant 400 ans jusqu’à ce qu’il soit brûlé par les Hugenots (Protestants) pendant les guerres de religion en 1562.
DU XIIe AU XVIe SIÈCLE (1), ROCAMADOUR FAIT PARTIE DES GRANDS PÈLERINAGES DE L’OCCIDENT CHRÉTIEN DÉDIÉS À LA VIERGE MARIE.
Au XIIe siècle (1) , les papes à Rome considèrent Rocamadour comme l’un des quatre plus grands sanctuaires de la Chrétienté avec Rome, Jérusalem et Saint-Jacques de Compostelle.
On y vient pour prier la Vierge noire dans sa chapelle (3) et lui demander une faveur, une aide. Elle a la particularité de rendre fécondes les femmes frappées de stérilité. Notre-Dame de Rocamadour semble avoir été d’un grand secours pour nombre de gens en particulier envers les marins. Et pourtant la mer est bien loin de Rocamadour ! Dans la Chapelle Notre-Dame où se trouve la Vierge noire, on peut voir des maquettes de bateaux suspendues. Celles-ci ont été réalisées par des marins qui, après avoir prié Notre-Dame de Rocamadour à un moment très dur en mer, ont été sauvés.
Jacques Cartier navigateur explorateur français
En 1535, Jacques Cartier, découvreur des terres du Canada, invoque Notre-Dame de Rocamadour lorsque son équipage à bord de « La Grande Hermine » est décimée par le scorbut lors du voyage retour. Il fait le voeu de se rendre en pèlerinage à Rocamadour en cas de guérison. Son souhait ayant été exaucé, il vient à cheval depuis Saint-Malo remercier la Vierge noire.
Dans le sanctuaire on trouve aussi des ex-votos en grands nombre en remerciement des faveurs accordées par Notre-Dame. (voir photos ci-dessous)
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En 1172, est publié le Livre des Miracles qui rassemblent 126 obtenus grâce à Notre-Dame de Rocamadour, miracles ayant été attestés devant notaire par souci d’honnêteté.
Une cloche miraculeuse Au sommet de la voûte de la Chapelle Notre-Dame, on remarque une petite cloche, l’objet le plus ancien du sanctuaire. On raconte que dès le 15e siècle, elle se mettait à sonner lorsque des marins en péril sur la mer invoquaient l’aide de Notre-Dame de Rocamadour et que leur voeu allait être exaucé. En 1612, la cloche miraculeuse aurait sonné pour la dernière fois. C’est un marin breton, Jacques Jas, et son équipage qui furent sauvés d’une violente tempête grâce à l’intercession de la Vierge Noire.
Epée Durandal fichée dans la roche
La légende Cette légende nous ramène au 15 août 778. Roland est le Comte de la Marche de Bretagne. Il est aussi le neveu de l’empereur Charlemagne. L’empereur accompagné de son armée passe les Pyrénées (4) pour aller combattre les Sarrasins en Espagne.
Roland, lui, est à l’arrière-garde avec ses hommes. Au moment où ils passent le col de Roncevaux, ils se font attaquer par les Basques, appelés alors les Vascons. Roland sonne le cor pour alerter l’empereur plus en avant et demander de l’aide. Tous les soldats meurent et Roland n’y échappe pas. Mais il ne veut pas que son épée tombe aux mains de l’ennemi après sa mort. Aussi, avant de mourir, il prend son épée, rassemble ses forces et tente de casser son épée sur le rocher. C’est le rocher qui se brise mais pas l’épée.
Désespéré, il implore l’archange Saint-Michel pour qu’il l’aide à soustraire l’épée à l’ennemi. Il lance alors Durandal, son épée, avec toute la force qu’il lui reste vers la vallée. Celle-ci traverse les airs sur de nombreux kilomètres pour venir se ficher dans le rocher de Rocamadour.
On peut voir cette épée Durandal encore de nos jours plantée dans le roc au dessus de la Chapelle Notre-Dame (voir photo ci-dessus). C’est une légende bien sûr !
Troubadours
Au XIIe siècle, plusieurs siècles après cette attaque dans les Pyrénées, l’histoire de Roland de Roncevaux devient un célèbre poème et une chanson de geste grâce aux troubadours sous le titre « La chanson de Roland«
ROCAMADOUR, UNE ÉTAPE IMPORTANTE SUR LE CHEMIN DE SAINT-JACQUES DE COMPOSTELLE Pour beaucoup Rocamadour n’était qu’une étape très importante sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle au nord-ouest de l’Espagne, autre étape majeure pour les Chrétiens qui faisaient ce chemin à pied.
(1) XIIe = 12e / XVIe = 16e / VIIIe = 8e
Pour apprendre à lire les chiffres romains c’est ici !
(2) C’est ce qu’on appelle le « Saint Suaire » ou le « Suaire de Turin » toujours détenu par le Vatican à Rome. On ne sait toujours pas si c’est le vrai malgré les analyses déjà faites. Pour en savoir plus c’est ici !
(3)La chapelle actuelle, construite au 15e siècle, remplace celle à l’origine qui ne faisait que 8m². Devant le nombre croissant de pèlerins, il fallut agrandir le site.
(4)Les Pyrénées : massif montagneux qui forme une barrière naturelle entre l’Espagne et la France (sud-ouest).
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